Banana Pancakes


Jack Johnson quoi… Bref, je suis pas là pour parler d’une chanson, mais d’une recette.

Après mes pancakes approximatifs chèvre-courgette et en ecoutant cette chanson (c’etait meme pas fait exprès), j’ai eu envie de pancakes à la banane, dehors la pluie, dedans un troll éxcité qui demande juste à avoir les mains occupées. Je me suis souvenue que ma maman, pour passer les bananes trop mures, ou pour m’occuper et faire la cuisine ensemble, faisait des crèpes et/ou pancakes aux fruits. J’ai eu envie de partager se souvenir avec mon fils. Il a coupé les bananes, cassé les oeufs, mélangé… ouai en fait, j’ai rien foutu, le mérite lui revient. Bon, j’ai cuit les pancakes. Et c’est déjà pas mal. Là, si je t’ai pas perdu après mon monologue, j’espère que tu feras cette recette en écoutant Jack. Ambiance banana pancakes manque plus que la planche de surf (et le soleil, en fait).

Les ingrédients (10 “petits” pancakes):
2 bananes.
10cl de lait.
2 oeufs.
40gr de sucre.
100gr de farine.
1/2 sachet de levure.
Facultatif:
20gr de beurre fondu, en fait, ils seront moins secs, moi j’ai fais sans, et on c’est pas étouffés non plus hein.
Quelques gouttes de rhum, pour une version adulte.

Le reste c’est pas bien compliqué. Tu épluche les bananes. Tu les coupes en rondelles ou cubes. Dans un saladier tu mélanges tout les autres ingrédients (je sais pas si l’ordre a une importance, je te donne les ingrédients dans celui que j’ai fais). Tu rajoute les bananes, et tu mélange, délicatement. Puis dans une poele bien chaude (si tu a besoin de graisser la poele utilise une huile neutre, type tournesol ou arachide), tu fais cuire tes pancakes, vas-y mollo pour les retourner, au début, c’est un peu délicats avec les morceaux.


A deguster tel quel ou avec du sirop d’érable. Avec les doigts bien entendu.

PS: J’ai remarqué une chose, sur internet, on trouve jamais la meme recette, mais on final, on se retrouve tous avec des pancakes. Je vais en essayer d’autre, celle là, c’était encore du piffomètre. La prochaine fois, je tente aux fruits rouge!

Pancake courgette et chèvre

Pour ce midi, avec le troll, j’avais envie d’une recette sympa pour lui, végétarienne pour moi. L’homme ne rentrant pas manger avec nous, j’en ai profité pour faire une recette avec du chèvre. J’avais préparé mon coup, hier j’ai demandé la recette à une amie. La reine du piffomètre auto-proclamée ^^. Ce midi, j’ai donc repris sa recette approximative, et j’ai tout noté, rectifié. Recette validée par un troll de 4ans, et par moi bien sur.

Pour environ 10 pancakes:
350gr de courgettes
70gr de fromage de chèvre
10cl de lait (écrémé pour moi)
3 oeufs
100gr de farine
Sel et poivre

Je précise juste que j’aurais pu surement mettre un peu plus de courgette, de fromage aussi… à l’appréciation de chacun. Là les goûts étaient subtiles. La recette n’est surement pas parfaite, mais nous, on a aimé.

*Laver, couper en cube les courgettes. Les cuires jusqu’a que l’on puisse en faire de la purée. (moi je les ai cuites à la casserole, j’ai donc retiré l’eau en trop après.)
*Mixer la courgette avec le fromage.
*Saler et poivrer.
*Rajouter le lait et les oeufs. Bien mélanger.
*Intégrer en plusieurs fois la farine.

Sur une poele bien chaude, faire cuire en petite portion les pancakes, façon crèpe. Ma pate aurait pu etre plus épaisse je suppose, mais c’était franchement facile a cuire, si la poele est bien chaude, ça saisi tout de suite le pancake. J’ai meme fais ma kamikaze de la poele, trois d’un coup sur la crepiere.

Bien chaud, tiede… avec une salade, des légumes ou autre.

Genre, j’en ai mangé que trois. 

P.S: Pour pas vous leurer sur la taille, je précise que c’est une assiette à dessert.

Encore merci à Alexane pour l’idée de recette!

Cupcake chocolat

[et feuilles de menthe]

Hier, je suis allé faire un atelier masque frais chez Lush (oui encore Lush…), le thème de cet atelier, c’est le masque Cupcake, au rhassoul, chocolat et menthe… bref, un article bientot sur le sujet.
Pour coller au thème et chérir nos vendeurs adorables, je leur ai fais des cupcakes donc, au chocolat et feuilles de menthe.

Notez que je dis bien feuilles car je n’avais plus d’arome. J’ai fais au plus simple.

La recette:
120gr de farine
1 et demi cc de levure chimique
1 demi cc de sel
185gr de sucre
180gr de beurre doux, fondu, refroidi
5oeufs
30ml de lait infusé de feuille de menthe (ou mélangé avec de l’arome), froid
150gr de chocolat patissier

Préchauffer le four à 220°C
Mélanger le beurre, le sucre et le lait infusé. Integrer la farine, la levure et le sel. Puis ajouter un à un les oeufs. (y a aussi la méthode des jaunes puis des blancs en neige – j’avais pas le temps). Rajouter le chocolat fondu et mélanger, mais pas plus que nécessaire. Verser la pate dans des moules (du coup j’ai pas compté, j’ai fais des minis… une bonne vingtaine + 6gros muffins), faire cuire 8-15minutes. C’est la laps de temps qu’on cuit en fonction de la tailles mes miniatures ET mes gros muffins. On pique d’un couteau, c’est propre – c’est cuit. S’ils paraissent encore trop « souple », n’oubliez pas que en refroidissant, un gateau se durcit également.

Pour le « glaçage, j’ai utilisé la moitié d’une tablette de chocolat patissier, concassé au gros couteau, réservé dans un bol. J’ai fais infusé des feuilles de menthe (une botte) dans de la creme liquide, j’ai filtré et versé sur le chocolat en remuant, pour le faire fondre. refroidi au frigo et hop étalé sur mes gourmandises… une feuille de menthe (ou deux) pour la déco. Servi avec un petit café ou un thé, c’est délicieux.

Un livre – L’ombre du vent


Dans la Barcelone de l’après-guerre civile, « ville des prodiges » marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon, Daniel Sempere, le narrateur, dans un lieu mystérieux du quartier gothique:  le Cimetière des Livres Oubliés. L’enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d’occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y  » adopter  » un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l’entraîner dans un labyrinthe d’aventures et de secrets  » enterrés dans l’âme de la ville  » : L’Ombre du Vent. Avec ce tableau historique, roman d’apprentissage évoquant les émois de l’adolescence, récit fantastique dans la pure tradition du Fantôme de l’Opéra ou du Maître et Marguerite, énigme où les mystères s’emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.

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Vous connaissez tous, mon amour pour l’Espagne, encore plus pour Barcelone. Et c’est tout bêtement ce seul critère qui m’a fait acheté plusieurs roman de Carlos Ruiz Zafon. On m’en a prêté un, donné d’autre… bref, j’ai pas mal de roman de l’auteur. Et pourtant, je n’avais pas encore pris le temps de le lire. Quand on a planifié notre voyage d’avril, un peu à l’arrache il faut l’avouer. J’ai voulu me plonger dans la Barcelone de cet écrivain, qu’on dit mystique et rocambolesque. Il faut dire, qu’il sait y faire le monsieur. Et j’ai été dès les premières lignes, transporté, direct dans les rues de Barcelone. Et j’essayais de les imaginer, ses rues bien neuves et propres que j’avais déjà fouler, de les imaginer sombres et abîmées par la guerre. Un voyage dans le temps, mais pas seulement. Je ne peux trop en dire sans rien dévoiler, j’ajouterais juste qu’il faut vraiment le lire! Les aventures des personnes sont tout simplement passionantes et bien ficelées.

La seule chose que je pourrais lui reprocher, c’est le trop plein de description, mais une fois terminé, j’ai compris que, pour recréer l’âme de la ville, faire battre son coeur à l’écrit, c’était la seule façon, et c’est réussi.

Je n’ai remarqué qu’après la lecture, que le roman était dans la liste pour mon Baby challenge juste ici. 

Red on head

Ceux qui auront été attentif sur mes précédents articles, ont surement remarqué que j’avais parlé de « folie capillaire » pendant les vacances…

Explication: Depuis longtemps je veux être rousse, mais pas un roux clair, plutôt rouge… j’ai jamais osé du trop tranché, j’ai toujours fais simple. Jusqu’à il y a 2semaines.

Avec mon amie (chez qui j’étais en vacance) nous étions en mission ravitaillement bière-rosé-chips. Et en passant devant les teintures, je lui montre celle-là:
Garnier 100% Color – 764 – Rouge épicé

Un beau rouge-orangé… Je lui montre donc la boite en lui expliquant que je rêvais d’oser ça. Et elle me sors « mais ose!!! j’te l’a fais se soir moi! »… ni une ni deux, l’effet de groupe (2 c’est un groupe non?), j’y avais à peine réfléchi que j’enfilais un vieux t-shirt, une bonne Leffe à la main et la folle qui rigole en voyant la couleur de la sauce: orange.
J’ai eu les fameuses phases: rire-pleurs-stress-rire… rinçage… « bon il fait nuit, on verra demain, ressers moi une bière! »

Le lendemain, au réveil, j’avais oublié. Sur le coup, c’est violent ^^. Un brushing, et me voilà une toute nouvelle femme. Encore pas habituée, mais trop contente.
J’en avais rêvé, j’ai osé. J’aime.

Avant:
Après:

Sous différents éclairages, ça change vraiment. Un coup roux, un coup rouge, un coup les deux. Sans décolo, avec une chevelure dans les châtains, c’est vraiment satisfaisant! Juste pour ceux tentés par la marque dans les « ultra intense », évité de trop frotter le crane pendant la colo, cuir chevelu orange (pour celle ci) assuré pour quelques jours. Sinon, j’adore. Je compte la refaire. Elle se délave (normal…rouge) mais je trouve que pour une rouge qui se délave, elle passe bien!!! Y en a ça vire vraiment moche, mais là c’est juste que c’est + roux à force… entre chaque teinture, un masque de betterave+carotte. Et voilà!!!

Barcelone

C’est pas une surprise pour ceux qui me connaissent: Barcelone, je l’aime. C’est pas une simple ville pour moi… et j’arrive pas à me l’expliquer. Comme à dit une amie un jour « je ne connais personne qui soit allé à Barcelone sans aimer »… C’est pas faux! Mais là, c’est plus que ça.

Et pourtant, en tout, je n’y suis allé que 2fois, la première fois en 2010. J’attendais ce moment depuis des années… pourtant c’est pas si loin!
Et on y est retourné pendant les vacances d’avril donc… On a dormis sur place en plein cœur de la ville, carte de métro dans la poche, sans presque jamais regardé un plan (papier, les plans métro, quand meme un peu^^).

Et voilà… ça me manque déjà!!! Ses grands lieux touristiques… Ses ruelles sombres et étroites, où l’on s’aventure rarement… On a fait notre marché à la Boqueria, et nous ne nous sommes pas arrêté aux premiers stand attrape-touristes, on c’est enfoncé au fond, et on à découert un lieu riche de tout. On c’est pris l’averse du siecle au « Castell Montjuic » mais comme on s’en foutait! Marché artisanal sur La Rambla, manifestation Indou sur cette grande avenue, on a trainé dans le parc Güell et del Carmell, la cuitadella… et j’en passe tellement!!! J’ai tellement hâte d’y retourner! Je me sens revivre là-bas.

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Vivement….

Vacances d’avril…

Nostalgie… le mois n’est pas fini, et pourtant j’ai un manque énorme de retourner là-bas, dans le sud coté frontière espagnole… chez des amis incroyables. ATTENTION C’EST LA MINUTE CHIANTE. Ils sont tellement géniaux, généreux, drôles… pas de retenue, pas de tabou sur notre ange, et beaucoup de déconne (et d’alcool ^^). Bref, Les Manoush, ce messages est pour vous: je vous adore!

Dans une petite ville en bord de mer, en dessous de Narbonne. Une semaine excellente, malgrès le temps capricieux, on à réussi à bouger: ballade et sieste sur le plage (oui on est des parents indignes, ils jouent avec les coquillages: on ronfle).
Un concert de 100gr de têtes au Wesh Center Crew, un apéro sauvage (très sauvage), du rosé, de la bière, une folie capillaire… je publie quelques photos en vracs, elles parlent mieux que moi.

Vivement qu’on se revoit! On vous attends pour la fête des lumières, mais c’est trop loin!!!!

Quais du Polar 2012

Cette année les état-unis, où plutôt leurs auteur étaient à l’honneur.
De grands noms sont venus fouler le sol du Palais du commerce, l’hôtel de ville
ou encore la chapelle de la trinité. Lyon aurait pu dérouler le tapis rouge,
mais les ovations étaient largement à la hauteur. Les français aussi n’ont pas démérité,
et enfin comme toujours d’autres pays ont été représentés.
Une ambiance simple et agréable, les auteurs proches des lecteurs.

Michael Connely, Maxime Chattam, Franck Thilliez, Patricia Macdonald, Lee Child, Jesse Kellerman, Tim Willocks et j’en passe… du beau monde.

Belle nouveauté pour moi, j’ai fais partie de la Gang Team. Les bonhommes, les petits lutins qu’on voit courir partout ect… avec leur beau t-shirt:
Il est pas beau quand meme? Hâte d’être l’année prochaine pour porté la prochaine édition ^^

Outre mes missions de surveillance, sécurité, départ d’enquête (le jeu dans toute la ville), servir quelques auteurs sur les stands, démontage… j’ai pu bien-sûr faire mon petit tour, avoir quelques dédicaces, et savourer la beauté du lieu.

Les photos valent mieux que des mots pour cette fois, un petit florilège avec mon portable:

Magnifique, non?

Patricia Macdonald quoi!!! Elle est adorable, très simple. Elle m’a fais la bise, prise dans ses bras car j’étais quand meme émue. J’ai pu parler avec elle un bon moment (avec son mari également), ce sont des gens charmants. C’est d’ailleurs son mari qui à pris la photo. Et elle, m’a dédicacé deux livres. Mon préféré pour l’instant d’elle: Sans retour. Et celui acheté, je voulais absolument, le tout premier sorti: Expiation. Le lendemain j’ai fais de la surveillance vers un interview qu’elle a donné, elle est venue me dire bonjour ect… adorable!


Enjoy!!!

Un livre – La couleur des sentiments

La couleur des sentiments de Kathryn Stocket

Résumé:
Jackson, Mississippi, 1962. Dans quelques mois, Martin Luther King marchera sur Washington pour défendre les droits civiques. Mais dans le Sud, toutes les familles blanches ont encore une bonne noire,qui a le droit de s’occuper des enfants mais pas d’utiliser les toilettes de la maison. Quand deux domestiques, aidées par une journaliste, décident de raconter leur vie au service des Blancs dans un livre, elles ne se doutent pas que la petite histoire s’apprête à rejoindre la grande, et que leur vie ne sera plus jamais la même. Passionnant de bout en bout, « La Couleur des sentiments » a bouleversé l’Amérique et déjà conquis plus de deux millions de lecteurs, parmi lesquels un certain Steven Spielberg.

L’histoire en 2 phrases courtes :
Une blanche, 2 bonnes noires (entre autres). Une histoire banale (en apparence) dans le Mississippi des années 60. Une journaliste en devenir lâche une petite bombe. Elle décide de dépeindre la vie telle quelle, des bonnes de familles blanches, bien sous tout rapport (là aussi, en apparence). Juste pour le dire, en parler, les comprendre, et pourquoi ne pas changer les choses, un peu. On le lit avec l’accent du vieux Mississippi, limite une clope à la main et la bouteille de Coke en verre toute fraiche posée devant nous. Et pour une fois, je préfère le titre en vf.

Avis :
Drôle, révoltant, touchant. C’est un peu les trois mots qui me viennent en tête directement.

Un style simple dans l’écriture, une lecture facile donc. On comprend où on va, on n’est pas perdu. J’aime l’humour dispersé au fil des pages, une phrase par ci par là. Ça détend, parce que le roman au final, traite un sujet lourd, le racisme mais pas que. La femme reste au centre de l’histoire, blanche ou noire, elle prend la parole. On ne parle pas de grande révolution, de féminisme ou de mouvement anti racisme. Juste de comment c’était. Une petite piqûre de rappel c’est utile parfois, et quand l’auteur arrive à mêler sujet grave et événement triste avec une touche d’humour sans jamais déraper: c’est gagné. Il parait que Kathryn Stockett travaille à son second roman… j’ai hâte.

Oui je sais je suis en retard un peu. Mais j’ai une PAL tellement énorme. En tout cas je peux là aussi rayer un titre du Baby challenge – ici.

Un livre – Jane Eyre

Jane Eyre de Charlotte Brontë

Résumé:
Orpheline, Jane Eyre est recueillie à contrecoeur par une tante qui la traite durement et dont les enfants rudoient leur cousine. Placée dans un orphelinat, elle y reste jusqu’à l’âge de dix-huit ans. Elle devient alors institutrice dans une famille et tombe passionnément amoureuse du père de ses élèves. Un amour partagé, auquel elle résistera d’abord, découvrant avec horreur l’existence de la première femme de Rochester, enfermée pour folie par son mari.

Avis (tout à fait personnel):
La vision du monde des sœurs Brontë m’étonnera toujours. Comment ses jeunes filles de bonnes familles, qui n’ont jamais dépassées les limites de leurs terres ( à part la pension), réussissent soit à dépeindre merveilleusement bien l’Angleterre de l’époque ou à partir dans des histoires folles? Justement, ce cloisonnement est peut être l’explication au final, allez savoir. Dans cette histoire là, on suit depuis l’enfance, Jane. Et la moindre des choses que l’on peut dire, c’est que ça vie n’est pas simple. Mais elle ne se laisse pas faire, pas si facilement. Elle est révoltée la petite Jane, et n’aime pas les obligations qui sont les siennes, elle reste sage, et apprends avec le temps à faire son propre chemins, à faire des choix et à voler de ses propres ailes. Là encore elle se heurte à des idéologies, des rêves, et des désillusions. Toujours elle se relève. On y trouve une femme passionnée, amoureuse.
Ce que je peux dire depuis quelques temps déjà, c’est que je suis tombée littéralement amoureuse de la littérature anglaise classique. Je ne sais pas pourquoi. Les tableaux qui y sont dépeints m’évade. Que se soit du Brontë, Austen et compagnie. J’adore. là où certains ne verront que de l’ennui, du fade et du poussiéreux, je vois de la passion neuve. Pas besoin d’aller chercher bien loin, pour trouver quelque chose de bon. Pas besoin de partir dans des grands délires où d’essayer forcément d’être extraordinaire pour faire une histoire qui marche.
Jane Eyre ça marche – en tout cas pour moi.

[Et un roman du challenge de lu. ici.]